mercredi 14 novembre 2007

La chevalerie
Xème - XVème siècle

La formation des chevaliers :

chevalier (tapisserie de Bayeux, 1066)Le jeune enfant appelé à devenir chevalier était généralement placé, pour son éducation, chez son seigneur. Dès son arrivée, on lui faisait rencontrer le cheval à l'écurie, à la forge, à la sellerie, où on lui montrait comment nourrir, soigner et harnacher ce qui serait l'outil le plus précieux de son métier.
Adolescent, il servait d'écuyer aux chevaliers, le mot écuyer venant d' "écu" qui désignait le bouclier. Afin que les chevaliers arrivent en pleine forme sur le champ de bataille, l'écuyer était chargé de transporter son équipement , notamment le bouclier qui était très lourd. En pleine bataille il relevait les chevaliers désarçonnés ou leur amenait une nouvelle monture.

adoubement du chevalierFormer un guerrier, rompu à l'exercice de l'escrime à cheval, demandait des années. On leur donnait les chevaux les plus rétifs qu'ils devaient dompter sous l'œil des moniteurs. Ils en sortaient couverts de plaies et de bosses, et beaucoup y laissaient leur vie ou devenaient estropiés. Vers 18 - 20 ans, la cérémonie de l'adoubement consacrait l'état de chevalier. Lors de cette cérémonie, il recevait le destrier, les éperons, l'épée et le manteau, ainsi qu'un geste symbolique, un coup sur la nuque du plat de la main (la colée), plus tard transformé en léger coup du plat de l'épée sur l'épaule.

Les chevaux :

un paysan labourantLes chevaux était l'objet de considération et de convoitise. Les plus riches seigneurs se disputaient les meilleurs, pour lesquels ils pouvaient se ruiner. Les marchands de chevaux comptaient alors parmi les hommes d'affaire les plus riches. Les paysans étaient contraints de livrer de grosses quantités d'avoine aux écuries seigneuriales, qui pour un château de 20 chevaliers, comptaient 100 chevaux à nourrir.

armures cheval & chevalierSi chaque chevalier devait avoir 5 ou 6 chevaux à disposition, c'est que le cheval était fragile sur les champs de bataille où il pouvait être blessé, tué, à bout de force, ou capturé par l'ennemi. De plus, il existait différent type de chevaux selon leurs usages. Les moins bons, les "roncins" et les juments transportaient les gens et les bagages. Les meilleurs étalons, les "destriers" participaient à l'action militaire. On les appelle destriers car on les menait de la main droite (dextre). On importait des chevaux robustes d'Allemagne, des haquenées d'Angleterre, mais les plus prisés provenaient des élevages arabes d'Andalousie; ils étaient très trapus pour pouvoir emporter au galop un cavalier avec ses 30 kilos d'armures et d'armements. Car, avec le temps, l'armure des chevaliers va se renforcer et donc s'alourdir. En 1214 on commençait aussi à barder de fer la poitrine et les flancs des chevaux de guerre. Les ferrures à clous équipaient déja les sabots des chevaux en Europe depuis le IVème siècle.

Au combat :

combat ancienne manière (tapisserie Bayeux,1066)Si au début du Moyen Age l'arme offensive était le glaive, il fut remplacé par la lance, que l'on projetait de loin sur l'ennemi. Une véritable révolution apparue au XIème siècle quand il apparut qu'il valait mieux garder la lance en main, fermement calée sous l'aisselle, tout en fonçant sur l'ennemi pour percer son armure ou le désarçonner. Cette méthode de cavalerie lourde fut rendue possible par la généralisation des étriers (apparus au VIIIème siècle en Europe) et de la selle profonde et enveloppante (Xème siècle), deux éléments qui rendent solidaire le cavalier et son cheval, et transforment ainsi la vitesse du cheval en puissance d'impact.

charge de cavalerie, XVème siècleLorsque l'ennemi était en vue, le chevalier descendait de son roncin qui l'avait transporté, puis enfourchait son destrier et prenait des mains de son écuyer le bouclier et la lance. Il s'approchait alors au trot, puis arrivé à 30mètres, il éperonnait son cheval et se lançait sur l'ennemi, la lance solidement coincé sous son aisselle droite, en l'abordant par la gauche. En fait, à cause du poids des armes et des armures du chevalier et du cheval, tout cela se passait lentement, comme dans un film au ralenti, bien loin des charges de cavaleries du XVIIIème siècle.

la chasse au fauconEntre chevaliers, on préférait désarçonner l'ennemi plutôt que de le tuer. On pouvait ainsi tirer une rançon pour la libération du chevalier. On récupérait aussi son cheval, car un bon destrier entraîné à la guerre valait fort cher. Au XIIème siècle, la guerre était permanente, les chevaliers passaient chaque été à combattre car la guerre était un jeu, le divertissement principal de la noblesse. Les chevaliers passaient aussi beaucoup de temps à cheval pour chasser dans les forêts, où l'homme ne sortait pas toujours vivant du combat avec le gros gibier.

Les tournois :

tournoi en AllemagneAu XIème siècle une autre manière de contenir la turbulence des chevaliers s'instaura dans le Nord de la France, le tournoi. Jusqu'au XIIIème siècle, le tournoi se différencie peu de la guerre. Plusieurs fortes équipes se disputent alors la victoire devant des experts. Les tournois se déroulent dans un vaste espace incluant château ou cité, bois et champs. Au signal donné, 2 ou 3 bandes de plusieurs centaines de guerriers se jettent furieusement les uns contre les autres, c'est la mêlée. Tous les coups sont permis, seuls des zones de repli, où les participants peuvent se reposer, permet de le distinguer d'une vraie guerre.

Outre la gloire, le gain demeure l'attrait principal du tournoi. On peut y gagner le prix, mais aussi des chevaux, des armures, des armes ou même de l'argent, issu des rançons ou du rachat des équipements pris. En fin de tournoi, une grosse foire aux chevaux s'organisait où les maquignons discutaient du prix des bêtes.

jouteA partir du XIVème siècle, les tournois se transforment en joutes, qui opposent 2 chevaliers face à face, dans un espace réduit entouré de palissades, les lices. Ces tournois deviennent alors plus ludiques que guerriers, festifs et même mondains.

L'équipement à cheval :

armures

Le heaume : c'est le casque; d'abord muni d'une simple protection nasale, de forme légèrement pointu, il évolue au XIIIème siècle vers un modèle plus fermé, ne laissant qu'une ou deux fentes pour la vue, reposant sur les épaules, et de forme plus arrondie, puis plus plat au sommet.
Le haubert : c'est la cote de maille, relativement souple, qui descend jusqu'au genoux, fendue devant et derrière pour permettre de monter à cheval. Elle est formée de petits anneaux de fil de fer entrelacés, engagés les uns dans les autres puis rivés. On réalise aussi des moufles de maille, des chausses de maille et des coiffes de maille. Le haubert protège contre les coups d'épée ou les flèches, mais non contre l'arbalette ou la lance.
le soleret, protège le piedL'armure plate : au XIIIème siècle le haubert se renforce de plaques de métal, puis au XIVème siècle on dispose d'une armure entièrement formée d'élements rigides articulés qui, au XVème siècle évince l'armure de maille.
Le bouclier ou écu : en bois puis en fer, de forme étroite et longue, pointue à la base, il est tenu au bras gauche ou suspendu au cou du chevalier pour chevaucher; il protège surtout son coté gauche.
L'épée : elle était faite au départ pour le combat à pied, pour littéralement fendre l'adversaire; pour cela elle était assez épaisse, mesurait un bon mètre et pesait 2 à 3 kg, avec une longue poignée pour la saisir à 2 mains.
éperon à moletteLa lance : tige de bois terminé par une pointe en fer, de 2.5m de longueur, elle devait être assez solide pour ne pas éclater sous les chocs frontaux.
Les éperons : ils sont à molette, avec des pointes de 4cm de longueur.
La barde : c'est l'armure complète qui protégeait le cheval de bataille. Elle est fortement articulé au niveau de l'encolure. Au tournoi, le cheval ne portait généralement que la partie qui protège la tête, le chanfrein.
Le chanfrein : protège la tête du cheval, avec une partie articulée qui se rabat sur la nuque. Très souvent, au centre du chanfrein se trouve une pointe d'une vingtaine de centimètre, telle une licorne.

le barde, l'armure du cheval de combat, XVème siècle le chanfrein, l'armure de tête du cheval

Avec tout le poids et la rigidité de cet équipement, on imagine la fatigue du cheval, la vulnérabilté du chevalier tombé à terre, et aussi la chaleur étouffante les jours d'été!

La disparition de la chevalerie :

arbaletrierAvec le temps, surtout à partir du XVIème siècle, l'adoubement de nouveaux chevaliers par les seigneurs devient de plus en plus chère. Ainsi les effectifs de la cavalerie de choc vont diminuer fortement. En même temps, sur les champs de bataille, la cavalerie lourde devient inefficace face aux troupes à pieds, groupées en bloc, hérissées de hallebardes et d'arbalètes. L'armure, pour se protéger des coups de mousquet, devient si lourde qu'on ne peut plus la porter. La Chevalerie va alors devenir une simple dignité, une sorte de confrérie avec son code d'honneur.

La Gravité

La gravitation a toujours constitué un sujet de grand intérêt pour l'humanité. Sa nature omniprésente et "immatérielle", presque "magique", en est peut-être la raison profonde. Avant la révolution newtonienne, la gravitation était assimilée à une propriété intrinsèque des corps. Selon les conceptions aristotéliciennes, la nature était composée de quatre éléments fondamentaux : l'air, le feu, l'eau et la terre. Chacun de ces éléments possédaient en eux-mêmes les principes qui présidaient à leurs mouvements. Ainsi, le feu, de même essence que les astres, cherchait-il à rejoindre ses derniers ce qui lui imprimait naturellement un mouvement ascendant. A l'inverse, la terre, et tous les corps composés à partir de cet élément, tendaient-ils à se déplacer vers le sol. L'image du Monde que nous renvoie la philosophie d'Aristote et de ses prédécesseurs est celle d'un univers hiérarchisé, constitué de niveaux de perfection croissants, allant de l'imperfection (la Terre) à la perfection absolue des Dieux (les astres). Dans cette vision du monde en forme de pelures d'oignon concentriques, la Terre occupait donc nécessairement la position centrale.

La mécanique newtonienne et classique a jeté un éclairage rationnel sur la gravitation, l'intégrant au grand édifice des lois de la nature. La gravitaiton y jouissait même du statut de loi universelle. A l'aide d'une formule très simple, l'Homme pouvait dès lors calculer la trajectoire des planètes et bientôt celle des satellites artificiels. Cependant, les bouleversements qui ont frappé la physique du XXième siècle - la relativité et la mécanique quantique - n'ont pas épargné notre vision et notre compréhension du phénomène gravitationnel. De force universelle, la gravitation a été "reléguée" à une simple manifestation de la courbure d'un espace-temps relativiste "élastique" pour finalement se dissoudre dans les incertitudes et l'indéterminisme de la physique quantique. Aujourd'hui, trois siècles après la publication des Philosophiae Naturalis Principia Mathematica (Principes mathématiques de philosophie naturelle) de Newton, il est tout à fait légitime de se poser la question de la nature profonde de la gravitation. Après tout ce chemin parcouru par l'aventure scientifique, cette question revient avec encore plus de résonnance : qu'est-ce que la gravitation ?

A titre d'introduction à la gravitation newtonienne, je vous propose l'extrait d'un article paru dans le magazine scientifique La Recherche La Recherche (numéro de novembre 1997) intitulé La Gravitation. L'auteur de cet article est Stéphanie RUPHY, journaliste à La Recherche, avec la collaboration de
Jean-Marie Lévy-Leblond, professeur de physique à l'université de Nice.

Pourquoi les corps tombent-ils ?


Pa
rce qu'ils sont attirés par la Terre. C'est la manifestation la plus familière de la force de gravitation, l'une des forces fondamentales à l'oeuvre dans l'Univers. Quand elle est exercée par la Terre, cette force attractive est souvent appelée gravité ou pesanteur. On doit à Galilée la première théorie physique de la chute des corps. Auparavant, l'explication aristotélicienne prévalait depuis près de deux mille ans. Elle s'inscrivait dans la conception d'un monde hiérarchisé, formé de lieux différenciés. Dans le monde sublunaire, ce qu'on nommait «gravité» était une qualité des corps lourds qui tendaient à rejoindre leur «lieu naturel» au centre de la Terre, identifié à celui de l'Univers. Les corps légers, comme le feu, se mouvaient, eux, naturellement vers le haut. Galilée montra que si l'on fait abstraction de la résistance de l'air, tous les corps, lourds et légers, tombent vers le sol avec une même accélération (on sait aujourd'hui que cette accélération vaut environ 9,8 mètres par seconde carrée). Galilée aurait vérifié expérimentalement cette loi, à plusieurs reprises, en lâchant du haut d'un édifice des poids inégaux : les poids venaient heurter le sol pratiquement au

même instant. Il réalisa également de nombreuses expériences de boules roulant le long de plans inclinés. Toutes ces expériences lui permirent de saisir correctement la relation entre force et mouvement : seule l'application d'une force peut modifier l'état demouvement d'un corps. En l'absence de force, cet état reste inchangé et le corps garde un mouvement rectiligne uniforme ou reste au repos (c'est le principe d'inertie). Mais la relation entre force et mouvement demeurait qualitative chez Galilée. C'est Newton qui en donnera une version quantitative dans ses Principes mathématiques de philosophie naturelle parus en 1687, sous la forme de sa

seconde loi du mouvement : l'accélération d'un corps est proportionnelle à la force imprimée et s'effectue dans la direction de la droite d'action de cette force. Cette loi est inséparable de deux autres lois énoncées par Newton (la première reprend le principe d'inertie galiléen, la troisième stipule l'égalité de l'action et de la réaction) et l'ensemble de ces trois lois du mou-vement ouvrira la route vers la loi de la gravitation universelle.

Que dit la loi de la gravitation universelle ?


Newton formule l'hypothèse audacieuse selon laquelle la Lune «tombe» sur la Terre de la même manière qu'un objet (une pomme par exemple...) tombe sur le sol. Mais en raison de sa vitesse initiale, la Lune décrit une trajectoire curviligne. Chute verticale et mouvement orbital sont donc des mouvements de même nature. Puis Newton étend cette hypothèse à tout corps céleste en orbite et aboutit à la loi suivante : «Deux corps quelconques s'attirent selon une force proportionnelle au produit de leur masse et inversement proportionnelle au carré de la distance qui lessépare». En combinant cette loi et ses lois du mouvement, il peut alors retrouver par le calcul les trois lois kléperiennes régissant le mouvement des planètes autour du Soleil. Newton achève ainsi d'abolir la frontière
aristotélicienne entre phénomènes terrestres et célestes. Sa loi de la gravitation devint universelle à double titre.

D'abord parce qu'elle s'applique à tous les corps. Ensuite parce que la notion de force attractive est adoptée comme hypothèse de principe dans toute la physique du XVIIIe siècle. Son domaine d'application déborde alors largement le champ de la mécanique céleste. Cohésion de la matière, interactions physico-chimiques, propagation de la lumière, etc., tous ces phénomènes doivent pouvoir s'expliquer selon Newton et ses successeurs en termes de forces attractives physiquement analogues à la gravitation et tout aussi mathématiquement explicables.

Ce n'est qu'avec la mise en évidence de la nature spécifique des forces électriques et magnétiques à la fin du XVIIIe siècle, puis des interactions au sein du noyau de l'atome au XXe siècle que la gravitation perdra ce caractère universel en ne devenant que l'une des forces fondamentales de l'Univers.



Comment s'explique le phénomène des marées ?


L'attraction gravitationnelle mutuelle de la Lune et de la Terre tend à les faire se rapprocher l'une de l'autre. Mais cette attraction est compensée par la force centrifuge de rotation de la Terre, comme de la Lune, autour de leur centre d'inertie. Au centre de la Terre, la force centrifuge et la force d'attraction exercée par la Lune se compensent. Mais ce n'est pas le cas en un point quelconque de la surface terrestre car les deux forces varient en sens contraire : plus un point est éloigné du centre de gravité Terre-Lune, plus la force centrifuge qu'il subit sera
grande, alors qu'au contraire l'attraction gravitationnelle exercée par la Lune décroît avec la distance.

Les deux forces ne se compensent donc pas à la surface de la Terre et leur différence est à l'origine des marées : au point A, la force centrifuge est insuffisante pour contre-balancer l'attraction gravitationnelle, A va donc tendre à se déplacer vers la Lune. Inversement, au point B la force centrifuge est plus grande que la force exercée par la Lune et B va donc tendre à s'en éloigner. Voilà pourquoi il y a sur Terre une marée deux fois par jour. Ce phénomène d'attraction différentielle affecte l'ensemble de la surface terrestre, mais seule la déformation des océans est facilement perceptible, la croûte terrestre étant trop rigide pour que sa forme soit significativement altérée. Cette déformation s'accentue lorsque le Soleil est aligné avec la Lune et la Terre et ajoute alors son effet de marée propre. C'est donc à la pleine Lune et à la nouvelle Lune que les marées sont les plus spectaculaires.

Quel rôle joue la gravitation dans les astres ?


C'est elle qui assure la cohésion des quelque 1057 atomes qui composent une étoile comme notre Soleil. Une traduction visuelle immédiate de ce rôle est la forme sphérique des étoiles, et plus généralement des planètes, satellites et autres astres de taille supérieure à une valeur critique de l'ordre d'une centaine de kilomètres. Les objets de dimension plus modeste, comme les astéroïdes, présentent au contraire des formes variées, souvent très irrégulières. Cette différence s'explique par la nature des forces qui assurent principalement la cohésion de la matière. Pour les petits corps, ce sont les forces électriques qui l'emportent. Ces forces étant à courte portée effective, elles sont indifférentes à la forme globale de l'objet. Alors que pour les plus gros corps, c'est la gravitation qui domine et impose une compacité maximale qui se traduit par une forme sphérique.

La gravitation gouverne toute la vie d'une étoile. Celle-ci se forme par effondrement gravitationnel d'un nuage de gaz : les particules, d'abord dispersées, s'attirent et se rapprochent. Cette contraction libère de l'énergie qui se convertit en énergie thermique et en rayonnement lumineux. La gravitation est donc pour une étoile une première source directe de rayonnement. Mais si c'était la seule, une étoile comme notre Soleil ne pourrait briller qu'environ trente millions d'années ! Grâce à l'énergie thermique libérée, température et pression de l'étoile augmentent à mesure qu'elle se contracte, jusqu'au déclenchement des réactions nucléaires. La gravitation assure ainsi un confinement suffisant du gaz au coeur de l'étoile pour que se produise la fusion de l'hydrogène en hélium, principale source du rayonnement stellaire. L'étoile se trouve alors dans un état d'équilibre hydrostatique où force de pression interne et gravitation se compensent.


ET POUR VOUS DONNER UN EXEMPLE:

mardi 13 novembre 2007

L'histoire de Halo

Nous sommes en 2552.

La planète Terre existe toujours mais la surpopulation a contraint un grand nombre de ses anciens habitants à coloniser d'autres mondes.

Les voyages supraluminiques sont désormais une réalité et le gouvernement unifié de la Terre, grâce au Commandement Spatial des Nations Unies, a tout mis en oeuvre pour favoriser la colonisation.
Des millions d'hommes vivent à présent sur les planètes habitables d'autres systèmes stellaires.

Clef de voûte des efforts de colonisation humains, la planète Reach abrite un chantier naval interstellaire où sont construits les vaisseaux coloniaux civils ainsi que les vaisseaux de guerre des forces armées du CSNU.

Compte tenu de sa proximité de la Terre, Reach est aussi un centre d'activité scientifique et militaire.

Il y a 32 ans, tout contact avec la lointaine colonie Harvest fut soudainement interrompu.

Un groupe d'intervention avais été détaché pour enquêter, mais il fut presque intégralement détruit, seul un vaisseau très endommagé parvint à revenir sur Reach.

Son équipage raconta qu'un vaisseau extraterrestre apparemment invincible avait écrasé les forces humaines sans la moindre difficulté.

Ainsi se déroula la première rencontre avec un groupe de races extraterrestres, unies par leur fanatisme religieux: les Covenants.

Le haut clergé Covenant ayant jugé l'humanité indigne de leurs dieux, leur caste de guerriers lancèrent une guerre sainte sans merci contre le genre humain.


Après une série de défaites écrasantes et la perte de plusieurs colonies, l'amiral Preston Cole du CSNU avait établit le protocole qui porte aujourd’hui son nom et interdisant à tout vaisseau humain d'attirer, même par inadvertance, les Covenants jusqu'à la Terre.

S'ils doivent se replier, les vaisseaux doivent impérativement éviter les vecteurs menant à la Terre, même si cela les oblige à s'enfoncer dans l'espace sans calculs de navigation appropriés.

Les vaisseaux sur le point d'être capturés doivent s'autodétruire.

Sur Reach, un projet militaire secret visant à créer des super soldats cyborgs avait pris une importance capitale.

Lors des essais de déploiement, les soldats du projet SPARTAN-II avaient enregistré des résultats impressionnants contre les Covenants, mais ils étaient trop peu nombreux pour pouvoir renverser le cours de la guerre.


l n'y a pas longtemps, les soldats SPARTAN-II existants avaient été rappelés sur Reach pour y être perfectionnés.

Leur mission était la suivante: aborder un vaisseau Covenant et localiser leur monde.

Mais deux jours avant le début de cette mission, les forces ennemies ont attaqué la planète Reach et anéantit la colonie.

Les Covenants étaient désormais aux portes de la Terre.

Un vaisseau, le Pillar of Autumn, était parvenu à prendre la fuite avec à son bord le dernier SPARTAN-II avant de s'enfoncer dans l'espace intersidéral dans l'espoir d'attirer les Covenants loin de la Terre.

mardi 23 octobre 2007

Les Virus. (biologique et informatique)


Les Virus Biologiques
Un
virus est une entité biologique qui nécessite une cellule hôte, dont il utilise les constituants pour se multiplier. Les virus sont des objets particulaires, infectieux, constitués au minimum d'un acide nucléique et de protéines.


Structure de base d'un virus .

Un virus se caractérise par son incapacité à se multiplier par division. Il a besoin pour cela d'utiliser une cellule hôte : un virus est un parasite intracellulaire obligatoire. Il est composé d'une molécule d'acide nucléique (soit d'ADN soit d'ARN, simple ou double brin) entourée d'une coque de protéines appelée la capside et parfois d'une enveloppe. Il ne possède en général aucune enzyme pouvant produire de l'énergie. Les virus sont le plus souvent de très petite taille (comparée à celle d'une bactérie par exemple), en règle générale inférieure à 250 nanomètres ; toutefois, le minivirus a une taille de 400 nm, ce qui le rend plus gros que les plus petites bactéries. Ce dernier a aussi la particularité de posséder à la fois de l'ADN et de l'ARN.

La forme libre du virus (ou particule virale) s'appelle le virion.Exemple, virus de l'hépatite B à coté.

Il existe une très grande diversité de virus, estimé en 2007 à 1031 qui est bien plus que la diversité des trois règnes (Bacteria,Archaea,Eukaryota) réunis .

Tous les êtres vivants peuvent être infectés par des virus. Il existe des virus de bactéries (les bactérophages), des virus d'Archaea, des virus d'algues (Phycodnaviridae), des virus de plantes, des virus fongiques, des virus d'invertébrés, des virus de vertébrés chez lesquels on trouve de nombreux agents pathogènes.

Découverte

Les maladies virales comme la rage, la fièvre jaune, la variole, affectent les humains depuis des siècles. Des hiéroglyphes mettent en évidence la Polimyélite dans l'Egypte antique, les écrits de l’Antiquité gréco-romaine et d’Extrême-Orient décrivent certaines maladies virales. Cependant, la cause de ces maladies est restée inconnue pendant longtemps. A la fin du XIXème siècle, la conception d’agents infectieux qui n’étaient ni des bactéries, ni des champignons, ni des parasites était encore difficile.

Entre 1887 et 1892, le botaniste russe Dimitri Ivanoski étudia une maladie végétale, la mosaïsque du tabac, et montra que la sève des plans malades contenait un agent infectieux qui n’était pas retenue par les filtres Chamberland conçu par le biologiste du mème nom. Ivanovski pensait qu’il s’agissait d’une toxine ou bien d’une très petite bactérie. C’est le chimistehollandais Martinus Beijerinck qui approfondi ces travaux et écarta l’hypothèse bactérienne, et dénomma le phénomène Contagium vivum fluidum. A la même époque, le virus de la fièvre aphteuse est le premier virus identifié par Friedrich Loeffler et Paul Frosch. Le virus de la fièvre jaune est le premier virus pathogène de l’Homme identifié entre 1900 et 1902.

C’est pendant la Première Guerre mondiale que l'anglais Frederick Twort et le microbiologiste franco-canadien Félix d'Hérelle mettent en évidence le phénomène de « lyse transmissible » observable par la lyse des bactéries cultivées en milieu solide. Ce phénomène est dû à un virus de bactéries que Félix d'Hérelle baptisa bactériophage. Les virus des plantes, des animaux, de l’Homme et des bactéries étaient ainsi découverts et leurs listes ne cessèrent de s’allonger au cours du XX ème siècle. L’apparition de la microscopie électronique dans les années 1930 permis l’observation des virus, mais on ne savait toujours pas à cette époque ce qu’ils étaient réellement.

Le biochimiste américain Wendell Stanley cristallisa le virus de la mosaïque du tabac sous forme de cristal protéique en 1935. L'année suivante des études complémentaires montrèrent que ce cristal contenait également de l’ARN.Les études ultérieures montrèrent que selon les virus étudiés, ceux-ci étaient composés soit de protéines et d’ARN, soit de protéines et d’ADN. C’est en 1957 que André Lwoff proposa une définition claire et moderne des virus.

A partir des année 1960, le développement des cultures cellulaires, de la microscopie électronique, puis de la biologie moléculaire permirent aux scientifiques de progresser dans la compréhension des mécanismes de réplication des virus, dans la réalisation de diagnostics fiables et dans l’élaboration de vaccin.

Les Virus Informatiques

Au sens strict, un virus informatique est un programme informatique écrit dans le but de se propager à d'autres ordinateurs en s'insérant dans des programmes légitimes appelés « hôtes ». Il peut aussi avoir comme effet, recherché ou non, de nuire en perturbant plus ou moins gravement le fonctionnement de l'ordinateur infecté. Il peut se répandre à travers tout moyen d'échange de données numériques comme l'internet, mais aussi les disquettes, les cédéroms, les clefs USB, etc. Les virus informatiques ne doivent pas être confondus avec les vers qui sont des programmes capables de se propager et de se dupliquer par leurs propres moyens sans contaminer de programme hôte.

Son appellation provient d'une analogie avec le virus biologique puisqu'il présente des similitudes dans sa manière de se propager en utilisant les facultés de reproduction de la cellule hôte. On attribue le terme de « virus informatique » à l'informaticien et spécialiste en biologie moléculaire Leonard Adleman (Fred Cohen, Experiments with Computer Viruses, 1984).

Au sens large, on utilise souvent et abusivement le mot virus pour désigner toute forme de programme malveillant (malware).

Le nombre total de programmes malveillants connus serait de l'ordre 95 000 selon Sophos (tous types de malwares confondus). Cependant, le nombre de virus réellement en circulation ne serait pas supérieur à quelque milliers selon la Wildlist Organisation, chaque éditeur d'antivirus ayant intérêt à « gonfler » le nombre de virus qu'il détecte. La très grande majorité touche la plate-forme Windows et, à un degré moindre mais croissant, les différentes distributions de l'Unix/Linux. Le reste est essentiellement destiné à des systèmes d'exploitation qui ne sont plus distribués depuis quelques années, comme les 27 virus — aucun n'étant dangereux — frappant Mac OS 9 et ses prédécesseurs (recensés par John Norstad, auteur de l'antivirus Disinfectant).

Les virus font souvent l'objet de fausses alertes que la rumeur propage, encombrant les messageries. Certaines d'entre elles, jouant sur l'ignorance en informatique des utilisateurs, leur font parfois détruire des éléments de système d'exploitation totalement sains.

Les premiers logiciels autonomes n'avaient pas le but qu'ils ont aujourd'hui. Les tout premiers logiciels de ce type étaient de simples divertissements, un jeu entre trois informaticiens de la société Bell, Core War, créé en 1970 dans les laboratoires de la société . Pour ce jeu, chaque joueur écrit un programme, ensuite chargé en mémoire vive. Le système d'exploitation, qui se doit juste d'être multitâche, exécute tour à tour une instruction de chacun des logiciels. L'objectif du jeu est de détruire les programmes adverses tout en assurant sa propre prolifération. Les joueurs ne connaissent évidemment pas l'emplacement du programme adverse. Les logiciels sont capables de se recopier, de se réparer, de se déplacer eux-mêmes en différentes zones de la mémoire et « d'attaquer » le logiciel adverse en écrivant aléatoirement dans d'autres zones mémoire. La partie se termine au bout d'un temps défini ou lorsque l'un des joueurs voit tous ses programmes inactifs ou détruits. Le vainqueur est celui qui possède le plus grand nombre de copies actives. C'est exactement un des principes de programmation des virus.

En 1984 le magazine Scientific American a présenté un jeu informatique consistant à concevoir de petits programmes entrant en lutte et s'autoreproduisant en essayant d'infliger des dégâts aux adversaires, fondant ainsi les bases des futurs virus.

En 1986, l'ARPANET fut infecté à cause de Brain, un virus qui renommait toutes les disquettes de démarrage de système en (C)Brain. Les créateurs de ce virus y donnaient leur nom, adresse et numéro de téléphone car c'était une publicité pour eux.


Différents types de virus

  • Le virus classique est un morceau de programme, souvent écrit en assembleur, qui s'intègre dans un programme normal, le plus souvent à la fin, mais aussi au début ou même au milieu. Chaque fois que l'utilisateur exécute ce programme « infecté », il active le virus qui en profite pour aller s'intégrer dans d'autres programmes exécutables. De plus, lorsqu'il contient une charge utile, il peut, après un certain temps (qui peut être très long) ou un évènement particulier, exécuter une action prédéterminée. Cette action peut aller d'un simple message anodin à la détérioration de certaines fonctions du système d'exploitation ou la détérioration de certains fichiers ou même la destruction complète de toutes les données de l'ordinateur. On parle dans ce cas de bombe logique et de charge utile.
  • Un virus de boot s'installe dans un des secteurs de boot d'un périphérique de démarrage: disque dur (le secteur de boot principal, le Master Boot Rzcord, ou celui d'une partition), disquette, ou autre. Il remplace un chargeur d'amorçage (ou programme de démarrage ou bootloader) existant (en copiant l'original ailleurs) ou en créé un (sur un disque ou il n'y en avait pas) mais ne modifie pas un programme comme un virus normal; quand il remplace un programme de démarrage existant, il agit un peu comme un virus prepender (qui s'insère au début), mais le fait d'infecter aussi un périphérique vierge de tout logiciel de démarrage le distingue du virus classique, qui ne s'attaque jamais à rien.
  • Les macro-virus qui s'attaquent aux macros de logiciels de la suite Microsoft Office (Word
  • , Excel, etc.) grâce au VBA de Microsoft. Par exemple, en s'intégrant dans le modèle normal.dot de Word, un virus peut être activé à chaque fois que l'utilisateur lance ce programme.
  • Les virus-vers, apparus aux environs de l'année 2003 et ayant connu un développement fulgurant dans les années qui suivirent, sont des virus classiques car ils ont un programme hôte. Mais s'apparentent aux vers (en anglais " worm") car :
    • Leur mode de propagation est lié au réseau, comme des vers, en général via l'exploitation de failles de sécurité.
    • Comme des vers, leur action se veut discrète, et non-destructrice pour les utilisateurs de la machine infectée.
    • Comme des vers, ils poursuivent des buts à visée large, tels que l'attaque par saturation des ressources ou attaque DoS (Denial of Service) d'un serveur par des milliers de machines infectées se connectant simultanément.

D'autres menaces existent en informatique, s'en distinguant souvent par l'absence de système de reproduction qui caractérise les virus et les vers : le terme de « logiciel maveillant » ( malware en anglais) est dans ce cas plus approprié.


je remerci le copain qui m'a donné son exposer sur les virus, je sais, j'ai mis du temps à tout recopier mais tout est là. (enfin... je crois)







Depuis des générations, le Royal Prostestant Knight Hellsing, plus connu sous le nom d'Institution Hellsing, protège tout le Royaume britannique des ordes de vampires et autres ghouls qui le peuplent. Basée à Londres, cette organisation compte sur une armée surentraînée et bien équipée pour les repousser, mais son arme ultime réside en un vampire surpuissant: Alucard. Celui-ci s'avère particulièrement lié à Sir Integra Hellsing, une femme qui dirige Hellsing d'une poigne exceptionnelle. Mais vous verrez très vite que l'intrigue recouvre beaucoup plus que cela et de nombreux rebondissements, quelques dérives et beaucoup d'hémoglobine viendront s'y greffer régulièrement. Au cours d'une mission, Alucard sera amené à sauver une jeune policière zélée mais maladroite, Victoria Celes, mais pour ce faire, il devra la changer en vampire et la prendre sous son aile. Une sous-partie intéressante, puisqu'elle montre en quelque sorte l'apprentissage de la vie de vampire, pas si facile que cela. Autre élément très important de l'histoire : la rivalité entre les Protestants (Hellsing) et les Catholiques (Vatican). Malgré leur but commun d'éradiquer les forces démoniaques de la surface de la Terre, ces deux institutions entretiennent une sorte de compétition dangereuse, censée prouver la supériorité de l'une ou de l'autre religion. N'est-ce pas un thème d'actualité ? Et cette rivalité tombe au plus mal, puisque l'organisation Hellsing finit par être prise pour cible directement, à la fois par les vampires et le Vatican. Parallèlement, une terrible puce capable de changer directement les humains en vampires assoiffés de sang et aux capacités dévastatrices fait son apparition. Qui peut donc avoir intérêt à employer ce procédé ? Et qui dirige dans l'ombre cette armée de vampires ?

Les Personnages:












- le Major (alias Montana Max, alias Major Krieg) :
Cet ancien officier SS est le fondateur et dirigeant du groupe Millenium. Il a supervisé le plan de transfert des ressources et troupes allemandes pendant la Deuxième Guerre Mondiale vers l’Amérique du Sud. Il était également en charge de la création d’une armée de morts-vivants, le « Last Batallion », dont la première version a été anéantie par Walter et Alucard dans les années 40. Petit, bedonnant, il ne trouve son bonheur que dans la guerre sous toutes ses formes. Et dans cet objectif, il a patiemment reconstitué et amélioré ses troupes de monstres pendant 50 ans afin d’attaquer la Fondation Hellsing, et l’Angleterre par la même occasion. Le fait qu’il n’ait pas vieilli depuis la guerre semble indiquer qu’il n’est plus humain, sans doute grâce aux technologies développées par son « médecin traitant ».


- le Capitaine (alias Hans Gunsche) :
Jamais très loin du Major, le Capitaine est lui aussi un ancien officier
de l’armée du Troisième Reicht. Ce dernier se distingue par une absence totale d’expression, aussi bien verbale que faciale. Il ne parle pas, ne sourit pas, ne bronche pas, bref mis à part son regard et ses mouvements, on le croirait presque empaillé. Malgré cela, c'est un individu redoutable, en l'occurence un loup-garou qui a survécu à son duel contre Walter pendant la guerre, ce qui n’est pas à la portée du premier monstre venu, et il est capable de saisir les câbles de Walter sans se faire déchiqueter. Après la "conversion" de Walter et son passage dans le camp Millenium, lui et l'ancien majordome semblent former le duo le moins bavard (mais néanmoins le plus redoutable) de Millenium.


- le Docteur :

Tout comme le Capitaine, le Doc (son nom n’est pas connu) est également un proche collaborateur du Major. Vraisemblablement le créateur de la puce à vampire, il étudie les morts-vivants depuis la guerre, et a mis au point les technologies qui ont permis de créer les soldats du Last Batallion, ainsi que de rendre le Major, le Capitaine et lui-même (apparemment) immortels. Il engueule fréquemment Schrodinger pour son comportement désinvolte et trimballe avec lui un ordinateur portable lui permettant de suivre ses vampires, et le cas échéant de les détruire par le feux lorsqu’ils cessent d’être utiles à quoi que ce soit.


- Schrodinger :
», oOfficier subalterne au sein du groupe Millenium aux allures de boyscout, Schrodinger se présente lui-même comme étant un
loup-garou. Ce soldat en culottes courtes est d’ailleurs affublé d’une paire d’oreilles velues sur le crâne. Affirmant qu’il est à la fois « partout et nul partn peut supposer qu’il est capable de téléportation ou d’ubiquité, dans la mesure où il apparaît dans divers lieux en tant que VRP de Millenium à une réunion secrète (tome 4) ou « caméraman » pour le Major sur le porte-avions (tome 5). Il est aussi remarquablement robuste, puisque après avoir « goûté » au Casull d’Alucard, il parvient à rapatrier ses restes au QG de Millenium et à réapparaître en pleine forme. Il sert aussi parfois de personnage comique, ce qui fait un peu de lui l’alter ego de Victoria pour Millenium.


- Les troupes du Last Batallion :
Les troufions du groupe Millenium sont apparemment tous d’authentiques soldats allemands de la Deuxième Guerre Mondiale, transformés en vampires freaks. Ils sont par conséquent plus costauds, plus rapides, et bien évidemment plus meurtriers que pendant la guerre. Néanmoins, toute cette chair à canon finit la plupart du temps en chair à pâtée après un affrontement contre l’un des principaux protagonistes du manga (Alucard, Anderson, Victoria…).




-Integra Hellsing:
retrouve donc à la tête de l'ordre des chevaliers le plus important de l'Angleterre, et non seulemeSir Integra Wingates Hellsing est l'héritière de la famille Hellsing et en cette qualité, elle a le devoir de servir la reine et de protéger le Royaume-Uni des vampires et autres créatures surnaturelles. Elle est l a fille de Bob (je vous ai déjà dit que je ne connaissais pas son nom et que j'allais l'appeler Bob) Hellsing qui lui a légué l'organisation lors de sa mort. A 14 ans, elle sent la mort prématurée de son père lui cause une profonde souffrance mais, son oncle Richard Hellsing tente de l'assassiner et elle n'a du son salut qu'a l'intervention d'une des créatures qu'elle a juré de combattre : Alucard. Le puissant vampire qui avait été emprisonné dans les catacombes du manoir boit le sang de la jeune vierge qui gisait à côté de lui suite à un coup de feu. Il tente alors de la "corrompre" mais n'y arrive pas et se soumet même au caractère indomptable de la jeune fille.

-Victoria Ceras:
Bien donc, il est inutile de vous présenter Victoria et son physique pour le moins alléchant. Je vais donc tout de suite passer à l'introduction du personnage dans cette aventure vampirique et je m'amuserai ensuite à deviner ses rapports avec les autres personnages de la série. Notre jeune recrue de la police de Cheddars voit sa brigade se faire décimer par des goules et tente de soigner les survivants mais ceux ci se retrouvent vite transformés en goules à leur tour. Ceras, désemparée, s'enfuit pour ne pas avoir à tirer sur ses anciens compagnons avant de croiser une goule. Elle

est terrifiée par les bizarreries qui lui arrivent et a du mal à atteindre sa cible. Alors, comble de l'étrangeté, un taré en manteau rouge arrive et

transperce la goule en lui annoncant qu'il « a envie de boire du sang par cette belle nuit. » Elle lui tire dessus et une fois n'est pas coutume, atteint sa cible. Mais ses balles n'ont aucun effet et elle s'enfuit alors. Elle tombe sur un curé visiblement amateur de chair fraîche qui veut la transformer en vampire pour des raisons diverses et variées. Elle se fait capturer et s'en suit une scène grandiose qui nous en apprend plus sur le taré en rouge.Il éradique les « cafards vampiriques » et propose un deal à notre policière (à noter que

dans le manga il ne lui propose pas et tire de suite). Elle accepte et devient une créature de la nuit, plus pour ne pas mourir que par réelle conviction (en même temps Alucard ne lui laisse pas trop le choix). Elle devient ainsi l'élève du vampire apprivoisé de la fondation Hellsing et sa vie, ou plutôt sa non vie sera totalement bouleversée.


Walter:
Ce majordome sexagénaire, très british de par ses attitudes,

son langage formel et son accoutrement est le conseiller particulier de la famille Hellsing, depuis plusieurs années maintenant, vu qu'il était déjà là pour assister le père d'Integra (que j'ai appelle Bob pour ceux du fond qui auraient séché les cours). Il est chargé de préparer le thé et de gérer les affaires courantes du manoir et a un don inouï pour choisir le cigare adapté à la situation... Mais sous l'apparence d'un vieil Alfred bien conservé se cache un redoutable chasseur de mort vivants. Lors de l'attaque du manoir Hellsing par les frères

Valentine dans les Orders 05 et 06, Walter propose à Victoria d'aller secourir Integra. Notre policière est d'autant plus surprise quand Alucard se réjouit à l'idée de voir l'ange de la mort reprendre du service. Quelques minutes plus tard, ce poétique surnom se justifie par la

destruction quasi instantanée de l'escadron de goules du jeune et impétueux Yann Valentine : Walter dispose d'un technique particulièrement mortelle... Il est non seulement doté d'un vitesse surnaturelle qui lui permet d'éviter facilement les balles avec une facilite déconcertante, mais cache dans sa paire de gants des fils de très faible épaisseur et particulièrement tranchants. De

telle sorte qu'il lui suffit d'un seul geste pour découper ses adversaires en morceaux sans que ceux-ci voient comment ils ont perdu leurs

membres. Les fils plus fins qu'un cheveu et le fait qu'ils soient constitués de fibre de diamant pourraient expliquer leur capacité à trancher sans être clairement distingués par l'opposant. Par ailleurs, ses fils lui permettent de retenir des masses plus ou moins importantes sans leur infliger de dégâts mais Walter luimême se fait un peu mal Dans le manga, on apprend que notre cher majordome a dans ses belles années combattu les troupes de Millenium au cote d'Alucard,
réduisant leurs armées à néant, ce qui lui a valu le doux surnom que nous connaissons.



Le Père Anderson:
Un simple dirigeant d'orphelinat pour le grand public mais le pire ennemi d'Alucard pour le 13ème bureau du Vatican... A.A (comme je vais l'appeler maintenant) a voué sa vie à l'extermination des vampires et de leur alliés. Il incarne la punition divine, il est le bras vengeur du Seigneur, sa mission est sacrée ...Mais pourquoi?

Order 07 : Le flash back de Anderson après son "amputation" le montre voulant se suicider à l'approche d'une ombre menaçante. Cela me fait penser qu'il a été confronte a ce type de créatures pendant la seconde guerre mondiale puisqu'il avait un équipement de militaire. Il est à genoux face a cette silhouette qui arbore un sourire malsain (comme Alucard). A.A. s'apprête à se suicider en se tirant un balle dans la bouche (et repeignant le mur par la même occasion) quand le flash-back s'arrête. lumière divine qui a donné un sens a sa viVoilà ma théorie : il a été sauvé d'une manière ou d'une autre de ce vampire par le 13ème Bureau et est ressorti traumatisé par cette expérience. (Comme un peu tout le monde je pense...) Un choc phénoménal qui lui a fait la raison. Constatant cela, l'ordre Iscariote décide d'exploiter cette "humiliation" en la transformant en haine contre les créatures de la nuit, faisant de lui un cobaye, lui promettant de lui donner les moyens de purifier la terre de ces immondices. Il a donc reçu la capacité de régénération ainsi que ses fameuses épées bénies parle Pape et a appris les sorts de purification par la bible. Depuis il est convaincu d'avoir été sauvé par lae: exterminer toutes les âmes damnées et leur alliés. Par contre il n'est pas humain. Comme le répète Alucard pendant leur combat, "il est un chien", c'est à dire, un serviteur qui obéit aux ordres. Il n'a pas la noblesse d'âme des membres de la famille Hellsing, et ses capacités laissent à croire qu'il doit posséder quelques gênes de vampires, pouvant expliquer sa capacité de régénération phénoménale. La supériorité d'Alucard sur Anderson est d'ailleurs clairement établie car à chacune de leurs rencontres, Anderson finit toujours pas être à genoux devant notre cher Vampire. (Order 3 avant de se prendre le coup de Casull sur le front, et Order 7 quand il perd ses deux bras).

Ses armes :
- Ses épées bénies qui sont capables de trancher n'importe quoi.

- Ses sorts de purifications par la bible qui empêchent les Nosferatu de se régénérer des blessures qu'il leur a infligé. (Evidemment Alucard est différent

)

- La régénération instantanée : il résiste à toutes les balles dans la tête dans le torse ...la seule exception est son amputation des deux bras par Alucard et vu comment ça le dérange pas plus

que ça, il verra sûrement ses bras repousser d'ici peu.

Son but :
-Exterminer tous les vampires et leur alliés, humains compris.



Nosferatu Alucard

Nous allons tenter de percer les mystères entourant le grand bonhomme en manteau rouge. Non les enfants il ne s'agit pas du père noël, ni d'un quelconque sympathisant de la faucille et du marteau mais du vampire le plus classe de la création :

Alucard.

Son Look
Généralement vêtu de ses bottes marron,

un costume assez vétuste datant sûrement du 19

eme siècle et de son célèbre manteau rouge vif et son chapeau, Alucard a les cheveux courts et

ébouriffés et arbore une paire de lunettes à reflets jaunes.
Cependant selon qu'il ait levé des sceaux ou non, son aspect change. Il se retrouve alors avec des cheveux longs qui lui vont jusqu'au bas du dos et il troque son éternel manteau contre une combinaison de cuir noire avec de nombreux boutons, tenant plus de la camisole de force que du costume de super héros.
A noter que dans le manga, il porte une tenue beaucoup plus moderne pour voyager.

Profil Psychologique
Cynique, Arrogant, Cruel, Prétentieux et le pire dans tout cela c'est qu'il en a les moyens. Sa cruauté est sans limite quand il s'agit de détruire un adversaire qui "se la pète", dans le manga il se réjouit d'entendre un freak hurler de douleur après qu'il ait traite Alucard de pauvre vampire. (Tome 4).

Alucard est aussi très possessif envers son seul bien restant, son cerceuil. Il n'hésite pas une seule seconde a déchiqueter les chiens qui ont osé s'approcher de son bien le plus précieux,son

seul et unique lien avec son passe de Comte Dracula.

Mais tous ces "défauts" ne doivent pas masquer la qualité principale du Nosferatu. Sa grande Loyauté. Durant toute l'histoire il reste fidèle a la Integra,lie par son serment prononce il y a une dizaine d'années voir plusieurs centaines si l'on s'en tient au fait qu'il a "échappée" a la mort en jurant fidélité a Abraham Van Helsing.

Du fait de sa puissance démesurée et de sa dignité, il se considère a juste titre comme étant l'élite vampirique et ne se gène pas pour traiter ses congénères de déchets méritent tout juste d'aller rôtir en enfer dans la plus grande des souffrances.

Les humains sont eux aussi considérés inférieurs, de simples chiens domine par leurs désirs et par les Humains au sens noble du terme.

Il considère Integra et les Durant en général comme étant égaux voir supérieur a lui d'un point de vue moral par leur détermination a suivre les but qu'ils se sont fixe quelque soient les difficultés rencontrées et leur volonté implacable qui leur permet de faire face a l'adversité même si le contrôle de la situation leur échappe totalement. Durant insiste aussi sur le fait que seul un Humain peut tuer un Monstre comme lui. Discutable d'un point de vue physique vu que Alexander Anderson, Victoria et lui même tuent des monstres à tour de bras mais la victoire

Morale, Psychologie est éternelle et irréfutable. A tel point que lui Nosferatu d'une puissance dépassent de très loin les possibilités humaines et vampiriques est tombe sous les assauts répétés d'un "simple" corps humain avec ses

innombrables faiblesses et imperfections mais abritant l'esprit immortel et héréditaire d'un Esprit plus noble et digne que le sien. C'est d'ailleurs le seul trait de caractère qu'il comprend chez les humains, considérant les autres comme des bizarreries de la nature. Humaine?

Ses Motivations

Durant veut trouver un adversaire a sa taille pour s'amuser. Il est comme un enfant gâté qui demande des jouets (comprenez adversaires) de plus en plus perfectionnés. Ce désir du combat et la déception qui en découlent se ressent lors de l'order 6 ou il constate avec dégoûts que Luke Valentine n'est qu'un misérable freaks certes plus fort que les autres mais incapable d'invoquer un familier ou de régénérer ses membres.
Mais cela ne fait que cacher son ambition démesurée.
Son autre but est de vampiriser Integra étant la

dernière représentante de la famille Hellsing, il n'aura aucun mal a se défaire de son serment s'il arrive lui même a détruire cette famille qui l'a asservi. De plus, la force de caractère d'Integra pourrait faire d'elle un nosferatu d'une puissance phénoménale digne d'être le compagne d'Alucard non pas dans le sens "amoureux" du terme mais son alter ego féminin et permettre ainsi de rétablir la suprématie des No Life King. Et accessoirement redonner à Alucard un empire comme jadis.
Dans cette optique de domination absolue de son espèce, il décide de vampiriser Celas qui a mérite d'entrer dans sa cour par sa détermination de continuer le combat même s'il est perdu d'avance.

Alucard compte donc étendre sa dynastie en trouvant des Humaines pour lui assurer une descendance et régner avec lui sur le monde entier en permettant à ces corps humains si fragiles de se fortifier avec le liquide vital et de remporter la victoire sans se soucier de la défaillance physique qui empêche leur âme de s'élever au dessus de la condition humaine.

Ses Pouvoirs
La visée parfaite qui le fait toucher sa cible quelque soit la distance et la position.
Sa force surhumaine qui lui permet de déchirer les corps comme du papier et de manier son Jackall et son Casull comme de simple pistolet automatique malgré leur masse et le recul.
La telekinesie qui lui permet de bouger les objets a distance, lui permettant de recharger son

arme par exemple (Order 13)
L'invisibilité qui lui permet de se fondre dans les ombres (Order 5)
L'illusionnisme qui lui permet de créer des mondes parallèles pour piéger ses ennemis (Order 2)
L'invocation de son fidèle chien a deux têtes (Order 6)
Le contre sort qui lui permet d'annuler tout sort lance contre sa maîtresse (Order 8 et 9)
La régénération. Variant selon la gravite de la blessure, il a plus ou moins besoin de sang pour se relever.

Qui est-il ?

Question ô combien difficile à résoudre mais néanmoins primordiale pour cerner la personnalité de notre cher vampire protecteur.
Comme tout le monde l'aura remarque est l'anagramme de Dracula,le célèbre vampire issu du roman éponyme de Bram Stocker. Inspire d'un personnage réel,Dracula serait l'allégorie de Vlad III prince de Valachie. Né vers 1430,il régna en 1448.A partir de 1456 jusqu'en 1462,il est reconnu sous deux surnom ma foi très poétiques.

Tepes qui signifie l'empaleur pour sa grande passion pour le pieu durant les guerre qu'il menait.
Dracula qui voudrait dire "Grand Diable" ou "Fils du Diable".

D'une cruauté sans pareille, il fait preuve d'une ingéniosité diabolique pour se débarrasser de ses ennemis, empalant et brûlant a tour de bras. Il se permet même le luxe d'inventer de nouvelles formes de tortures qui le place dans le "Hall of Fame" des plus célèbres tortionnaires. Son humour noir a toute épreuve fait empaler un jeune noble qui était dérangé par les odeur des suppliciés en l'empalant a son tour mais plus haut que les autres. Sa passion pour le sang humain lui donne courage et force et il se plait a y tremper sa main lorsqu'il est a table.
Mais derrière cette réputation se cache une manoeuvre politique destinée à déstabiliser cette région et de la cote Russe, Vlad apparaît comme le symbole d'une principauté forte, supérieure à la menace de l'église et capable de faire face aux invasions turques. Il apparaît des lors comme un prince sage et justifie ces condamnation par la lâcheté, le manque de respect du coupable. Il

meurt finalement au combat en 1476.

Pourquoi Alucard est Dracula
Tout d'abord l'anagramme Dracula est plus qu’évocatrice, de plus il dit aussi dans l'Order 9-10 à Incognito puis à Integra lors de leur première rencontre, que son nom cache une énigme.

D R A C U L A
A L U C A R D

Sa passion pour le pieu est révellée dans les tomes 3-4 du manga avec une armée empalée soigneusement par notre héros, puis dans l'anime avec la fin d'Incognito. De même dans le manga il empale aussi Rip avec son mousquet en l'utilisant encore une fois comme un pieu.
Son attachement a la famille Hellsing. Dans le roman, Le comte est vaincu par Abraham Van Helsing et ses amis pendant qu'il récupère des blessures infligées précédemment dans son cerceuil. Les images devraient convaincre les plus réfractaires.
A la fin de la série TV, il répond à cette question en faisant apparaître un reflet de lui même. Le visage d'un homme age probablement de la quarantaine avec une moustache.
Or ce visage est celui de notre cher Vlad Tepes.

"In name of god the impur soul of the living-dead shall be banished into eternal damnation"
"Au nom de Dieu les âmes impures des mort-vivants seront promu à la damnation éternel"

Amen

je suis désoler si j'ai oublier des personnages mais cela est volontaire car je n'avais pas le courage de tout vous dire!